Matousha (Mathilde Anclin) garde le goût du travail sur les qualités de la matière, la création à partir des textures, en micro, en macro. Son enfance, marquée par une éducation qui l’a coupée de ses sensations et de ses émotions, la conduit aujourd’hui à se redécouvrir à travers des pratiques proches du corps comme la danse et les pratiques somatiques.

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