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ARIYAEI Mohammad « sans titre »

1750,00

Mohammad Ariyaei est né en 1987 à Golpayegan, petite ville iranienne de la province d’Ispahan.

Enfant, il joue avec deux amis imaginaires, qui vivent dans la cour ou dans le placard de la cuisine, et qui sont selon lui des génies ou des fées. Il passe aussi beaucoup de temps avec sa grand-mère, qui pratique le soufisme et dialogue avec l’au-delà, et dont les histoires riches et fantastiques l’inspirent et peuplent son imaginaire.

En 2013 il rencontre chez un ami un illustrateur de livres pour enfants qui l’encourage à peindre sa première toile. Il peint plusieurs autres œuvres, sans formation. C’est le début de sa carrière d’artiste. A partir de 2013, son travail est mis à l’honneur à l’occasion de plusieurs expositions collectives (en Iran et notamment à Téhéran, aux Pays-Bas, au Liban, en Allemagne et à Dubaï aux Emirats Arabes-Unis), et individuellement en 2018 et 2020 en Iran. 

Il peint toute la surface du papier et laisse rarement place à la respiration dans ses toiles aux couleurs vives et vibrantes. Ses personnages qui semblent collés sur le fond pourraient attraper le spectateur. Sans perspective, sans point de fuite, ils se serrent sur la surface du papier pour tenir dans le cadre, comme des génies piégés dans une lampe. Sur ou à côté d’eux, il écrit des poèmes de Saadi et Hafez instructifs et ironiques.

GRGICH Anne-Marie  » It’s all fun and games still someone star crying »

1900,00

 

 

«J’ai eu un enfant et je pense que cela a donné à ma vie beaucoup de magie, de beauté et de joie. Pour moi, faire de l’art est un moyen pour moi de vivre la magie et un moyen pour moi d’avoir une 2ème enfance. J’ai eu une blessure à la tête en 1981 et je suis tombée dans le coma. Ensuite, je n’ai pu me souvenir que d’une partie de ma vie antérieure. Grâce à l’art, j’ai pu me souvenir de plus en plus du passé et cela m’a donné quelque chose à faire. J’irais simplement dans cet autre monde. Et créez tous ces dessins ».

 

GRGICH Anne-Marie « Spanish ballroom »

7000,00

 

«J’ai eu un enfant et je pense que cela a donné à ma vie beaucoup de magie, de beauté et de joie. Pour moi, faire de l’art est un moyen pour moi de vivre la magie et un moyen pour moi d’avoir une 2ème enfance. J’ai eu une blessure à la tête en 1981 et je suis tombée dans le coma. Ensuite, je n’ai pu me souvenir que d’une partie de ma vie antérieure. Grâce à l’art, j’ai pu me souvenir de plus en plus du passé et cela m’a donné quelque chose à faire. J’irais simplement dans cet autre monde. Et créez tous ces dessins ».

 

 

Guyodo ( Frantz-Jacques)

1500,00

Frantz Jacques, né en 1973, fait partie des artistes de la «Gran Rue», un des secteurs les plus pauvres de Port-au-Prince (Haïti) où dans une ancienne décharge automobile,  une communauté de créateurs, les «Atis Resistanz», travaille à partir de matériaux de récupération en tout genre. Il transforme les vestiges de notre consommation en œuvres d’art.

MABOUNGA Gatien « Assis sur pied »

320,00

 

 

Gatien Mabounga est un artiste inspiré originaire du Congo. Ancien relieur puis chaudronnier, sa peinture est expressionniste et matérielle à la fois. Personnages brutaux et sensuels, désespérés et vivants, l’image est toujours directe, simple mais fulgurante. Gatien Mabounga est un poète de la peinture.

MATOUSHA, « Sans titre »

650,00

 

Marquée par une éducation qui l’a coupée de ses émotions et de ses sensations, l’artiste sonde l’espace, le mouvement et le corps par la création – sa démarche tient de la quête, de l’exploration à travers la suggestion plutôt que la figuration.

 

Matousha

Mathilde Anclin est née à Metz en 1975.

Son enfance marquée par une éducation qui l’a coupée de ses sensations et de ses émotions, la conduit à se redécouvrir à travers des pratiques proches du corps comme la danse.

C’est dans les Cévennes qu’elle explore d’autres espaces, alliant mouvement, dessin et nature.