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KUFFJCA Cozma  » Si ploaia miroase bine » P 4

1200,00

Si ploaia miroase bine ( Et la pluie sent bon )

Dessin, tech mixte, charbon sur papier

30 x 22 cm

Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de  Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.

Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.

A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit  tout de suite.

Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985, car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.

Kuffjca va alors toute sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.

Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.

 

KUFFJCA Cozma « Flori Albe » P 1

2300,00

Tech mixte, charbon  sur papier.

Fiori Albe (Fleurs de l’ aube)

Format ; 100 x 70 cm

Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de  Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.

Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.

A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit  tout de suite.

Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985,  car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.

Kuffjca va alors  tout sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.

Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.

 

KUFFJCA Cozma » Curaj » P 2

2300,00

Technique mixte, charbon sur papier

Format 100 x 70 cm

Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de  Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.

Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.

A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit  tout de suite.

Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985,  car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.

Kuffjca va alors  tout sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.

Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.

 

KUFFJCA Cozma » Si umbrela si frigul » P 3

1200,00

Si umbrela si frigul ( et des parapluies contre le froid )

Dessin , technique mixte , charbon sur papier

30 x 22 cm

Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de  Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.

Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.

A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit  tout de suite.

Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985,  car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.

Kuffjca va alors  tout sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.

Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.

 

Philippe Azema. Sillons enivrés( Vent évite piège). P 3

2600,00

 

Format: 107  x 84 cm

Technique mixte sur papier marouflé sur ancien drap ou toile de lin.

encadré sur chassis

Vent évite piège  est une anagramme. C’est le prénom et le nom de ma grand mère ,que l’on voit à gauche effrayée par un serpent qu’un personnage va pourfendre avec une épée en plastique. Le petit personnage à droite c’est moi et le personnage encore à droite c’est ma tatie.

 

Philippe Azema né en 1956,a grandit dans le sud de la France entre la Camargue, l’Hérault et le Tarn.
Dés son plus jeune âge, il manifeste un fort goût pour les images et les lettres, grand intérêt pour Maciste, Zembla ainsi que pour la chasse aux larves d’éphémères, les fourmilières, les fermes à l’abandon. Goûts qui s’affineront plus tard dans d’autres directions
Dans sa jeunesse il éprouve un grand intérêt pour le rouge et s’essaie à la peinture sur toile, mais s’en désintéresse. Plus tard il se lance dans la peinture avec rasoir et bâton taillé en pointe et se concentre sur le rouge, le noir et le jaune.

Ouvrier agricole le jour et artiste pendant son temps libre, c’est une nécessité intérieure qui le pousse à dessiner et à peindre.