J’ai 42 ans, je dessine depuis que je suis enfant. Avant, je voulais être un artiste de bande dessinée. J’ai eu une grave commotion cérébrale à la suite d’un accident de vélo et j’ai perdu la capacité de bien dessiner. Je ne suis jamais allé à l’école d’art. Je suis allé à l’école de théologie. J’ai abandonné mes études supérieures, l’école jésuite de Berkeley, après la naissance de ma première fille.
Je dessine Christ parce que Dieu Christ Jésus Esprit Saint-Esprit m’a dit de faire 1000 photos de lui.
Deux hommes joueront un rôle fondamental dans le parcours artistique de Ernst Kolb. Le peintre et sculpteur Uli Lamp lui a offert une place dans son studio et lui a fourni du matériel, alors que l’écrivain Rolf Bergmann est devenu son ami. Il a aussi défendu son travail et publié deux livres sur lui, y compris une biographie détaillée.
En 2018, Ernst Kolb a bénéficié d’une belle exposition solo à la collection de l’ art brut à Lausanne.
Dans les différentes manifestations auxquelles il assistait, Ernst Kolb emportait toujours un sac en plastique. D’où son surnom » Plastic bag man ».
En général, les dessins de Matousha peuvent être regardés dans plusieurs sens.
Marquée par une éducation qui l’a coupée de ses émotions et de ses sensations, l’artiste sonde l’espace, le mouvement et le corps par la création – sa démarche tient de la quête, de l’exploration à travers la suggestion plutôt que la figuration.
Matousha
Mathilde Anclin est née à Metz en 1975.
Son enfance marquée par une éducation qui l’a coupée de ses sensations et de ses émotions, la conduit à se redécouvrir à travers des pratiques proches du corps comme la danse.
C’est dans les Cévennes qu’elle explore d’autres espaces, alliant mouvement, dessin et nature.
E, général, les dessins de Matousha peuvent être regardés dans plusieurs sens.
Marquée par une éducation qui l’a coupée de ses émotions et de ses sensations, l’artiste sonde l’espace, le mouvement et le corps par la création – sa démarche tient de la quête, de l’exploration à travers la suggestion plutôt que la figuration.
Matousha
Mathilde Anclin est née à Metz en 1975.
Son enfance marquée par une éducation qui l’a coupée de ses sensations et de ses émotions, la conduit à se redécouvrir à travers des pratiques proches du corps comme la danse.
C’est dans les Cévennes qu’elle explore d’autres espaces, alliant mouvement, dessin et nature.