Née en 1989
Experience:
28 October 2016 Triennial Jagodina Exhibition. Belgrade, Serbia Naive of Marginal Art Museum
Novembre 2016. Copenhagen Outsider Art Gallery, Denmark, Group Exhibition.
Collaboration :
Galerie Polysémie, Marseille , France ;
Galerie Gli acrobati , Torino, Italia ;
Articles, Interview:
Art brut Journal, Belgrade, Serbia, October 30th 2016
Rawvision n.105 , Spring 2020
Née en 1989
Experience:
28 October 2016 Triennial Jagodina Exhibition. Belgrade, Serbia Naive of Marginal Art Museum
Novembre 2016. Copenhagen Outsider Art Gallery, Denmark, Group Exhibition.
Collaboration :
Galerie Polysémie, Marseille , France ;
Galerie Gli acrobati , Torino, Italia ;
Articles, Interview:
Art brut Journal, Belgrade, Serbia, October 30th 2016
Rawvision n.105 , Spring 2020
Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.
Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.
A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit tout de suite.
Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985, car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.
Kuffjca va alors tout sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.
Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.
Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.
Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.
A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit tout de suite.
Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985, car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.
Kuffjca va alors toute sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.
Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.
Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.
Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.
A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit tout de suite.
Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985, car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.
Kuffjca va alors tout sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.
Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.
Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.
Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.
A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit tout de suite.
Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985, car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.
Kuffjca va alors tout sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.
Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.