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Gabriel Leger. Impossible de m’échapper P

6500,00

Dessin au fusain

Format: 100 x 70 cm

Année 2009

 

Le grand dessin au fusain de Gabriel Léger  » impossible de s’échapper » appartient à une série de l’artiste faisant référence à la culture du tatouage qui s’ est développée avec la mafia dans les prisons de l’ère soviétique.

GRGICH Anne-Marie  » It’s all fun and games still someone star crying » P

2200,00

 

 

«J’ai eu un enfant et je pense que cela a donné à ma vie beaucoup de magie, de beauté et de joie. Pour moi, faire de l’art est un moyen pour moi de vivre la magie et un moyen pour moi d’avoir une 2ème enfance. J’ai eu une blessure à la tête en 1981 et je suis tombée dans le coma. Ensuite, je n’ai pu me souvenir que d’une partie de ma vie antérieure. Grâce à l’art, j’ai pu me souvenir de plus en plus du passé et cela m’a donné quelque chose à faire. J’irais simplement dans cet autre monde. Et créez tous ces dessins ».

 

Guyodo ( Frantz-Jacques)

1500,00

Frantz Jacques, né en 1973, fait partie des artistes de la «Gran Rue», un des secteurs les plus pauvres de Port-au-Prince (Haïti) où dans une ancienne décharge automobile,  une communauté de créateurs, les «Atis Resistanz», travaille à partir de matériaux de récupération en tout genre. Il transforme les vestiges de notre consommation en œuvres d’art.

KUFFJCA Cozma  » Si ploaia miroase bine » P 4

1200,00

Si ploaia miroase bine ( Et la pluie sent bon )

Dessin, tech mixte, charbon sur papier

30 x 22 cm

Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de  Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.

Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.

A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit  tout de suite.

Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985, car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.

Kuffjca va alors toute sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.

Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.

 

KUFFJCA Cozma « Flori Albe » P 1

2300,00

Tech mixte, charbon  sur papier.

Fiori Albe (Fleurs de l’ aube)

Format ; 100 x 70 cm

Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de  Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.

Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.

A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit  tout de suite.

Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985,  car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.

Kuffjca va alors  tout sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.

Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.