Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.
Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.
A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit tout de suite.
Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985, car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.
Kuffjca va alors tout sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.
Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.
Si umbrela si frigul ( et des parapluies contre le froid )
Dessin , technique mixte , charbon sur papier
30 x 22 cm
Kuffjca Cozma est née en 1962 à Tiraspol, capitale de la Transnistrie, enclave russe de la République de Moldavie. Sa mère est roumaine et son père russe.
Elle vit en Roumanie jusqu’à 16 ans puis s’installe à Tiraspol pour terminer ses études dans le domaine électronique.
A cause des difficultés économiques, sa famille lui impose de travailler comme guichetière, pour les Chemins de Fer de l’Etat moldave. A partir de 18 ans, elle commence à dessiner sur des papiers recyclés qu’elle détruit tout de suite.
Sa vie change brusquement à 23 ans, en 1985, car une collision entre un train et une locomotive lui défigure le visage et la réduit à l’immobilité.
Kuffjca va alors tout sa vie, profondément traumatisée, dans la solitude, à l’intérieur d’un petit appartement d’où elle sort rarement.
Ses dessins sont remplis de traits noirs épais et de spirales de mots, dont on ignore la signification.
Rajesh est né en 1982 dans le village de Navanath (Maharasthra) où il réside toujours. Il est avant tout agriculteur sur un petit lopin de terre. Les arbres sont ses sujets de prédilection. On identifie souvent ses peintures grâce à l’extrême finesse de ses illustrations, et ses œuvres sont souvent riches de détails sur la vie quotidienne de son peuple. Sur invitation de DUPPATA, il est venu exposer ses travaux en France au printemps 2017. Assez peu reconnu jusqu’à cette date, il a vite acquis une notoriété internationale et a fait sa première exposition au Japon en novembre 2018.